Chronologie: électrodynamisme
Voici votre chronologie en 4 dates
Les « ragazzi » sont ravis de ce retour à la vie de leur collègue et lui font savoir qu'il est question de créer plusieurs chaires de physique théorique. Majorana ressort pour l'occasion de vieux manuscrits, des travaux commencés quatre ans plus tôt à Leipzig, et rédige en quelques jours ce qui sera son dernier article : "Théorie symétrique de l'électron et du positron".(Italie)(NS)
Voir aussi : Ettore Majorana - Physique quantique - électrodynamisme - Sciences physiques - Théorie symétrique de l'électron et du positron - Particules de Majorana
À l'étonnement de beaucoup, Majorana participe à ce recrutement académique. Afin de ne pas éliminer un des concurrents (probablement son ami Gentile), la commission de recrutement crée un poste supplémentaire du fait de ses «mérites exceptionnels» et de sa «grande notoriété, qui est amplement justifiée».(Italie)(NS)
Voir aussi : Ettore Majorana - Physique quantique - électrodynamisme - Sciences physiques - Giovanni Gentile
Après avoir refusé Cambridge, Yale et la Fondation Carnegie, Majorana rejoint son poste à Naples où il se lie d'amitié avec Antonio Carrelli, professeur de physique expérimentale et directeur de l'Institut de chimie et de physique.(Italie)(NS)
Voir aussi : Ettore Majorana - Physique quantique - Electrodynamisme - Sciences physiques - Naples - Antonio Carrelli - Université de Cambridge - Université de Yale - Carnegie Endowment for International Peace
Quinze jours après sa leçon inaugurale, y croisant par hasard un certain Giuseppe Occhialini, de passage à Naples et qui est heureux de serrer la main de Majorana, ce dernier lui confie : «Vous arrivez juste à temps : si vous étiez venu plus tard vous ne m'auriez plus trouvé» Puis il ajoute : «Car il y a ceux qui en parlent et ceux qui le font».(Italie)(NS)
Voir aussi : Ettore Majorana - Physique quantique - électrodynamisme - Sciences physiques - Naples - Giuseppe Occhialini
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