Le Pdt catalan Puigdemont écrit au PM espagnol Rajoy en affirmant que sa priorité est le "dialogue" ; Rajoy lui donne un délai de 3j pour déclarer clairement sa position. 

Le chef de la police de Catalogne, Josep-Lluis Trapero, un proche du président catalan, est entendu pour la deuxième fois par les forces de l'ordre pour sédition. Le même jour, deux chefs d'associations indépendantistes catalanes, Jordi Sánchez et Jordi Cuixart, également inculpés pour sédition, sont placés en détention. "Les deux Jordi" sont à la tête de l'association Omnium Cultural qui a pour objectif la sauvegarde de la langue catalane dont l'usage a été banni sous la dictature de Fransisco Franco. Pour protester contre ces arrestations, 200.000 personnes descendent dans les rues de

Willy Aubert